Choix d'un langage


Choix d'un langage de programmation


 

Afin de programmer de petites applications simples au niveau du particulier, on peut opter pour un langage facile à apprendre et aisément compréhensible.

Le Basic est le langage de programmation grand public par excellence, par comparaison à ses débuts, le langage s’est davantage structuré et possède une grande richesse de commandes.

 

Purebasic est un langage compilé, il produit un code optimisé  directement utilisable par la machine sur-laquelle il est compilé. Le programme tient en général en un seul exécutable autonome qui n’exige aucune installation particulière. A l’exécution, le programme est très rapide et brigue les performances de certains logiciels développés en C++.

 

Pour le particulier c’est une satisfaction de concevoir ses propres outils et ses logiciels, mais Purebasic permet aussi d’élaborer des projets d’envergure, une grande logique de développement est néanmoins nécessaire.

 

Purebasic permet la création d’interface graphique très facilement même sans éditeur visuel d’environnement graphique  dédié Linux, la programmation des «gadgets», nom habituel donné aux éléments qui permettent de composer l’interface graphique (fenêtres, boutons, listes, combo, boîtes à onglets etc...) est aisée et indépendante du système d’exploitation.

Un éditeur visuel est inclus et fonctionnel sous Windows, il est possible de créer rapidement l’interface graphique avec une version virtualisée de Windows et compiler sous Linux.

 

La version démo de Purebasic est illimitée dans le temps, les seules limitations se situent au niveau du code (pas plus de 800 lignes, ce qui représente déjà un petit projet sérieux), mais avec le mode ‘include’ il n’est pas difficile de dépasser cette barrière.

 

 

Purebasic possède un éditeur de développement pratique, il se comporte comme un éditeur de texte classique quant à la saisie.

On peut facilement l’adapter à ses habitudes de travail car il offre un nombre conséquent d’options dans le menu «préférences».

 

On peut réviser  la coloration syntaxique afin de l’accommoder à ses goûts.

 

Quand le curseur est sur une parenthèses, l’éditeur met en surbrillance la deuxième  parenthèse qui lui correspond.

Le même schéma est appliqué aux mots clés, le curseur sur un IF, ELSE, ELSEIF, ENDIF et l’éditeur soulignera toutes les autres dépendances.

 

En cours de frappe, la barre d’état affiche une assistance substantielle à la construction des ordres, des fonctions etc.. avec les paramètres obligés et optionnels.

 

Au moment de la saisie, une liste de choix est affichée, c’est l’auto-complétion qui permet d’insérer commodément un terme reconnu sans inexactitude syntaxique, c’est une aide précieuse.

 

En cliquant sur le signe [-] il est possible de replier le contenu du bloc d’une procédure en ne laissant affiché que le signe [+] complété uniquement par le nom de la procédure, un nouveau clic permet de déplier l’ensemble.

Cela permet d’avoir une meilleure vue d’ensemble du code source quand celui-ci devient imposant.

 

L’éditeur permet également de compiler et déboguer directement le code source, et ainsi contrôler l’algorithmique de la programmation.

 

 

 

 


10/03/2012
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